Au cœur de l’arrière-saison, alors que les collines niçoises dévoilaient leurs paysages sauvages baignés par la Méditerranée, six membres du Sète Thau Triathlon ont relevé un défi de taille : conquérir les sentiers escarpés du Trail de Nice. Ces parcours vallonnés, avec leurs relances incessantes et des vues à couper le souffle, furent le théâtre d’une véritable démonstration de ténacité et d’expertise. Chez ces passionnés, la quête ne se limitait pas à terminer une épreuve ; il s’agissait aussi d’engranger des points précieux pour viser l’Ultra Trail du Mont-Blanc, une étape majeure dans le calendrier d’un traileur aguerri. À travers les efforts de chacun, de la gestion de la douleur aux stratégies d’endurance nocturne, on a pu observer toute la richesse humaine et sportive que requiert le trail, discipline où la posture mentale s’entrelace avec la performance physique. Ce récit, mêlé d’expériences personnelles et de moments d’entraide, illustre parfaitement l’esprit du Sète Thau Triathlon entre dépassement et plaisir partagé.
La performance des Sétois au Trail de Nice : un véritable défi d’endurance et d’efforts maitrisés
Dans une compétition où se retrouvaient 2 000 coureurs sur le format 50 km et 1 500 sur le 100 miles, nos athlètes ont fait preuve d’une remarquable constance. Le tracé exigeant, cumulant montées et descentes, réservait peu de répit. Malgré cela, chaque Sétois a su gérer ses forces, trouver la régularité et parfois pousser le mental jusqu’à ses retranchements. Leur équipement, souvent signé Salomon, La Sportiva, Hoka One One et Compressport, a joué un rôle clé pour maintenir le confort et la performance, tandis que les équipements Garmin et Buff assuraient navigation et protection contre les éléments.
- Hugues Anfosso, auteur d’une course solide, s’est battu jusqu’au bout malgré une défaillance à 2 km de l’arrivée.
- Thibault Marguet continue de progresser en s’adaptant aux défis longs avec ténacité.
- François Cavaro découvre la réalité du long format avec une gestion courageuse de la douleur.
- Vincent Marguet dépasse ses propres limites malgré une maladie passagère.
- Yann Marchienne, fidèle à son style posé, accompagne et motive ses camarades durant toute la course.
- Antoine Wolff s’illustre sur le format 100 miles avec une performance impressionnante sur deux nuits.
| Athlète | Format | Distance (km) | Dénivelé positif (m) | Classement | Temps | Expérience clé |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Hugues Anfosso | 50K | 54 | 2400 | 610e | 08h24 | Gestion de la fatigue en fin de course |
| Thibault Marguet | 50K | 54 | 2400 | 1134e | 09h46 | Progression régulière |
| François Cavaro | 50K | 54 | 2400 | 1179e | 09h52 | Résistance à la douleur |
| Vincent Marguet | 50K | 54 | 2400 | 1243e | 10h02 | Esprit combatif face aux difficultés |
| Yann Marchienne | 50K | 54 | 2400 | 1287e | 10h10 | Leadership et gestion de l’effort |
| Antoine Wolff | 100M | 156 | 8000 | 466e | 42h21 | Expérience et endurance nocturne |
Équipements et préparation : les alliés indispensables pour dominer le trail
Préparer un trail d’une telle envergure ne s’improvise pas. Chaque étape, de la sélection des chaussures signées Kalenji ou Asics pour le confort et la tenue à la montée, au port de vêtements Compressport pour optimiser la compression musculaire, demande une stratégie pointue. La nutrition, souvent basée sur des aliments naturels boostant ton énergie dès le matin, est centrale pour tenir tout au long des heures de course. Côté accessoires, Garmin propose des outils précieux pour suivre la course en temps réel, tandis que la polyvalence de Buff t’aide à lutter contre les aléas climatiques. J’ai personnellement adopté la combinaison de ces marques avec l’expérience partagée sur la compression sportive made in France, un vrai plus pour le maintien et la récupération.
- Chaussures adaptées : Kalenji, Asics, La Sportiva, Hoka One One
- Vêtements compressifs : Compressport, RaidLight
- Matériel GPS et suivi : Garmin
- Accessoires multifonctions : Buff
- Hydratation et alimentation : aliments naturels pour booster l’endurance, avec astuces partagées dans cet article sur les 5 aliments naturels qui boostent l’énergie dès le matin
Le mental et la cohésion : des forces vitales pour les athlètes sur les sentiers niçois
Au-delà de la préparation physique, le trail est une école du mental. La lutte contre la douleur, la gestion de la fatigue et ces moments où le corps pousse à lâcher prise exigent une discipline de fer, mais aussi un enthousiasme contagieux. Yann Marchienne, en meneur d’hommes, a su insuffler à l’équipe ce souffle nécessaire pour éviter le découragement. Pour François Cavaro, courir malgré une tendinite est un exemple parfait de dépassement et d’endurance. Si tu souhaites comprendre comment travailler ta résilience mentale, je te conseille chaudement cet échange sur comment rester motivé quand t’as l’impression que ça sert à rien.
- Gestion de la douleur et du stress : les techniques adaptées pour tenir face à la difficulté
- Encouragement mutuel : un levier puissant pour avancer ensemble
- Visualisation positive : anticiper le plaisir de l’arrivée pour surmonter les passages durs
- Stratégies de récupération mentale : éviter l’épuisement psychologique
- Objectif partagé : la qualification à Chamonix comme moteur commun
| Élément mental | Impact sur la performance | Exemple sur le Trail de Nice |
|---|---|---|
| Résilience à la douleur | Maintien dans la course malgré les blessures | François Cavaro terminant malgré ses tendinites aux genoux |
| Motivation collective | Réduction du risque d’abandon | Yann Marchienne encourageant l’équipe en difficulté |
| Visualisation positive | Meilleure gestion du stress | Antoine Wolff se concentrant sur son objectif durant 42h de course |


