Michael Leconte, triathlète passionné originaire de Saint-Pierre-en-Val, a bouclé une saison 2025 exceptionnelle, conclue en beauté à l’Ironman de Cascais, au Portugal. Après avoir débuté son parcours sportif cette année avec un marathon très prometteur à Paris, il a enchaîné les épreuves de triathlon longue distance avec une constance et une détermination sans faille. L’apothéose est survenue en octobre, face aux décors à couper le souffle du littoral portugais, où il a réalisé sa meilleure performance sur marathon dans un Ironman, mettant ainsi un point d’honneur à une saison bien remplie. Au-delà des chiffres et des temps, c’est son engagement, son endurance et son goût du dépassement de soi qui inspirent tous ceux qui, comme lui, vivent au rythme des trois disciplines du triathlon : natation, cyclisme et course à pied.
Michael Leconte et son Ironman de Cascais : une performance emblématique au Portugal
Le triathlon Ironman de Cascais a marqué la fin d’une saison intense pour Michael. Cette course légendaire, qui combine 3,8 km de natation, 180 km de cyclisme et un marathon de 42,195 km à pied, représente l’un des défis les plus exigeants pour tout triathlète d’endurance. Michael a terminé en 10 heures et 56 minutes, ce qui témoigne du fruit d’un entraînement rigoureux et d’une préparation mentale solide.
Les clés de sa performance à Cascais
- Un record sur marathon battu après plusieurs années : 3 h 51 min, une grande victoire sur sa « bête noire ».
- Natation maîtrisée en 1 h 10, démontrant une excellente condition et technique.
- Une solide prestation à vélo avec un temps de 5 h 35, très appréciable sur un parcours côtier exigeant.
- Le cadre magnifique du Portugal qui a stimulé son envie et son plaisir de concourir.
| Discipline | Distance | Temps réalisé | Zone d’effort |
|---|---|---|---|
| Natation | 3,8 km | 1 h 10 min | Technique & endurance |
| Cyclisme | 180 km | 5 h 35 min | Résistance & gestion d’effort |
| Course à pied (Marathon) | 42,195 km | 3 h 51 min | Gestion mentale & endurance |
Une saison riche en défis, de Paris à Cascais
La saison de Michael est née au printemps, avec un point d’orgue sur le marathon de Paris en avril, où il a bouclé la course en 3 h 43 min. Ce départ a montré une progression claire dans sa pratique de la course à pied, bien que ce ne soit pas sa discipline de cœur.
Enchaînement des courses et ajustements d’entraînement
- Fin juin : triathlon XXL Ch’tri Man à Gravelines, un rendez-vous incontournable du calendrier français.
- Juillet : participation au 70.3 de Knokke en Belgique, moitié Ironman, exigeant et stratégique.
- Septembre : préparation intense sur route avec la Ronde Picarde, 170 km pour peaufiner sa condition.
| Épreuve | Lieu | Date | Type | Performance notable |
|---|---|---|---|---|
| Marathon de Paris | Paris, France | Avril 2025 | Course à pied | 3 h 43 min |
| Ch’tri Man | Gravelines, France | Juin 2025 | Triathlon XXL | Solidité dans l’endurance |
| 70.3 Knokke | Knokke, Belgique | Juillet 2025 | Demi Ironman | Respect de la cadence vélo-course |
| Ronde Picarde | Nord de la France | Septembre 2025 | Sortie vélo | Préparation spécifique vélo |
Maintenir l’équilibre : entraînement, repos et nouvelles disciplines
La clé pour tenir une saison comme celle de Michael, avec un dixième et onzième Ironman complétés, réside non seulement dans le travail physique, mais aussi dans la capacité à varier les plaisirs sportifs. Après une année de courses intenses, Michael intègre le full-contact au Tréport, un choix surprenant mais judicieux pour développer son mental et son explosivité hors triathlon.
Les piliers de son entraînement annuel
- Natation : 10 km par semaine, avec travail technique sur la fréquence et la respiration.
- Cyclisme : 250 km hebdomadaires, essentiels pour la puissance et la résistance.
- Course à pied : 60 à 70 km par semaine, progressifs et contrôlés.
- Full-contact : pour casser la routine et entretenir la combativité.
- Reprise de l’entraînement triathlon prévue en décembre pour préparer sa dernière saison de triathlon.
| Discipline | Volume hebdomadaire | Objectif |
|---|---|---|
| Natation | 10 km | Technique et endurance |
| Cyclisme | 250 km | Puissance et résistance |
| Course à pied | 60-70 km | Progression et gestion de l’effort |
| Full-contact | Variable | Développement mental et physique |
Une dernière saison annoncée pour 2026 : quels défis pour Michael Leconte ?
Après une carrière riche de seize Ironman, Michael a choisi d’entamer sa dernière saison de triathlon en 2026, avec l’envie de profiter pleinement sans se fixer de nouveaux records mais en restant compétitif. Il prévoit de participer à trois Ironman sur le territoire français, dont une étape mythique, l’Embrunman, connu pour sa difficulté et sa beauté.
Programme prévu pour la tournée d’adieu
- Ironman à Tours, étape incontournable pour tester la forme après l’hiver.
- Ironman dans les Hautes-Alpes, terrain de jeu exigeant pour le cyclisme et la course.
- Embrunman en octobre, véritable défi pour terminer en beauté.
- Un défi inédit au Mont-Saint-Michel, mêlant sport et paysage exceptionnel (plus d’infos).
| Lieu | Épreuve | Mois | Objectif personnel |
|---|---|---|---|
| Tours | Ironman | Printemps 2026 | Remise en jambe et plaisir |
| Hautes-Alpes | Ironman | Été 2026 | Gestion de l’effort montagnard |
| Mont-Saint-Michel | Triathlon | Automne 2026 | Découverte et émotion (détails ici) |
| Embrunman | Ironman | Octobre 2026 | Clôture mémorable |


